L’autonomisation économique des femmes est ma passion depuis vingt ans. Alors que je concevais des solutions pour l’inclusion financière, numérique et de la chaîne de valeur pour les femmes, j’ai toujours rêvé de mettre la main à la pâte dans une entreprise intéressante. Avec Airpur, j’ai su immédiatement que je voulais rejoindre sa direction. En élevant mes enfants à Dakar, j’étais parfaitement consciente des niveaux élevés de pollution et des dommages qu’ils peuvent causer à notre santé. Je suis heureuse de fournir les solutions de purification de l’air dont les familles et les entreprises des centres urbains ont désespérément besoin. De plus, j’aime le fait qu’Airpur soit détenu par des femmes, qu’il soit guidé par des preuves et alimenté par la technologie, tout en se souciant profondément du bien-être des gens et du bilan social.

Je suis une entrepreneuse, fondatrice d’airpur, économiste, mère passionnée, yogi et amoureuse de la mer. J’aime chercher des solutions et les trouver.

Je viens d’Allemagne et j’ai habité trois ans à Dakar avec ma famille. Vous me trouverez peut-être un peu naïve, mais je pensais qu’il y avait toujours un bon air frais au bord de la mer. Jusqu’à ce que je vive la première saison de l’Harmattan à Dakar. J’étais choquée et aussi désespérée car depuis, notre fils toussait sans arrêt la nuit. Moi aussi, j’ai commencé à tousser certains jours.  J’ai parlé de ce sujet avec d’autres parents et on peut rapidement avoir l’impression que tous les enfants de Dakar toussent.
Je voulais changer quelque chose – juste pour nous au début. Je me suis donc intéressée au thème de la pollution de l’air. J’ai commandé des purificateurs d’air en Allemagne et mes parents les ont envoyés à Dakar. Quel effort. Mais quand nous avons eu le premier purificateur d’air et que mon fils a cessé de tousser la nuit, j’ai su que c’était exactement la bonne solution. Le reste appartient désormais à l’histoire.